RDC: Le Député Yannick Mambu s’attaque au mémorandum du FCC , qualifiant la gouvernance de Tshisekedi de “Dictature “
En réaction aux propos du Front Commun pour le Congo(FCC), contenus dans un mémorandum adressé le 17 septembre dernier à Jean Pierre LACROIX, Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix, le député national élu de Kenge. Yannick Mambu, défend vigoureusement Félix Tshisekedi et note le caractère infondé des accusations de la plate-forme politique de Kabila, selon lesquelles, la gouvernance de l’actuelle est assise sur la dictature.
À l’encroire, les propos du FCC ne reflètent en rien la réalité du terrain, et il apporte des arguments solides pour mettre en lumière les progrès accomplis sous le mandat du président Tshisekedi.
” En ce qui concerne les réformes et respect des droits humains, notez que les efforts entrepris par le gouvernement pour renforcer les institutions en charge de la protection des droits humains. La mise en place de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) et l’ouverture d’enquêtes sur les violations présumées des droits humains par les forces de l’ordre et les groupes armés sont des exemples concrets de l’engagement du gouvernement. ces actions montrent une réelle volonté de mettre fin aux abus, en particulier dans les régions en proie à des conflits, et de rendre justice aux victimes,”note en substance Yannick Mambu.
Et d’ajouter :
“Le gouvernement Tshisekedi s’est montré déterminé à lutter contre l’impunité, y compris au sein des élites politiques et économiques. Nous rappelons que sous des régimes précédents, les responsables d’abus et de corruption bénéficiaient souvent d’une immunité de facto, mais le président Tshisekedi a prouvé par des actes qu’il ne tolérera pas de telles dérives. Des personnalités influentes ont été traduites en justice, et cela marque une rupture claire avec le passé,”révèle t-il.
Du renforcement de la démocratie et de l’inclusivité, le très jeune élu de l’histoire des élections dans la circonscription de Kenge territoire, note que contrairement aux accusations du FCC, Félix Tshisekedi a œuvré pour un espace politique plus inclusif et ouvert.
” La liberté de presse est davantage respectée, les élections organisées sous son mandat ont été plus transparentes, et l’opposition a eu plus de liberté pour s’exprimer. Nous considérons que ces efforts sont des preuves indéniables de la volonté du président de consolider la démocratie et de permettre aux citoyens de participer activement à la vie politique,”insiste le représentant des Kwangolais.
” le président Tshisekedi a toujours prôné le dialogue comme moyen de résoudre les crises. Sa médiation avec les pays voisins et son engagement dans des accords régionaux pour stabiliser l’Est de la RDC sont autant de signes de son désir de promouvoir la paix. Ces actions diplomatiques montrent la volonté du président de rétablir l’unité nationale dans un pays fragmenté par des années de conflits,” poursuit Yannick Mambu, parlant de la stratégie du président Tshisekedi à privilégier le dialogue pour la paix et la stabilité.
À la même occasion, le Député national a parlé des réformes institutionnelles et lutte contre la corruption sous la gouvernance de Félix Tshisekedi.
“Nous rappelons ici que le gouvernement Tshisekedi a entrepris des réformes institutionnelles significatives, notamment dans le domaine de la gouvernance et de la lutte contre la corruption. Ces réformes visent à renforcer la transparence et l’efficacité des institutions publiques, en particulier dans la gestion des ressources de l’État. Cette volonté de modernisation démontre l’engagement du président à offrir aux Congolais un État de droit, où les citoyens peuvent bénéficier d’une administration plus juste et plus responsable,”a t-il poursuivi.
Concluant son allocution, Yannick Mambu note que les accusations du FCC, qualifiant la gouvernance de Tshisekedi de « dictature », sont infondées et ne reflètent pas la réalité des progrès accomplis. Le président Tshisekedi a pris des mesures concrètes pour améliorer la situation des droits humains, renforcer la démocratie et moderniser les institutions de la RDC. Plutôt que de sombrer dans la dictature, son mandat se caractérise par une ouverture politique, une meilleure gouvernance et une volonté de dialogue qui, selon lui, apportent des solutions durables aux défis auxquels le pays fait face. Il rejette donc catégoriquement les accusations du FCC, qu’il perçoit comme une tentative de discréditer des avancées réelles en faveur de la stabilité et du développement du pays.